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De nombreux types de violences
La violence peut prendre différentes formes. On parle de violence conjugale quand la victime et l'auteur sont dans une relation sentimentale.
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La violence la plus visible est la violence physique, elle est repérable et reconnaissable. La violence physique laisse des traces : des hématomes (bleus), des bosses, des plaies ou des fractures.
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La violence psychologique est plus difficile à détecter. Elle correspond à des actions ou à des négligences aux effets psychologiques particulièrement destructeurs. Les menaces, les humiliations, les intimidations, l’isolement social et les insultes sont une liste non exhaustive de violence psychologique existante.
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La violence sexuelle désigne une situation dans laquelle l’agresseur se sert d’une personne pour satisfaire ses besoins sexuels. La victime est alors exposée à une activité ou à un comportement à caractère sexuel qu’elle-même ne souhaite pas.
Le consentement au cœur des violences
Le consentement sexuel c’est l'accord qu'une personne donne à son partenaire au moment de participer à une activité sexuelle.
En effet, une personne doit clairement communiquer son accord pour que le consentement soit valide. Elle peut le faire par ses paroles, son comportement ou les deux. Le silence n’équivaut donc pas à un consentement.
Le consentement donné par une personne n'est plus valide dès l'instant où elle n'a plus la capacité de consentir. Par exemple, il n'y a plus de consentement à partir du moment où la personne perd connaissance.
Il est possible qu'une personne donne son consentement à une activité sexuelle pour ensuite changer d'avis une fois que celle-ci est commencée. Si une personne décide qu'elle ne veut plus poursuivre l'activité, elle peut à tout moment retirer son consentement. Si le partenaire continue malgré le refus ainsi exprimé, il commet une agression sexuelle.
« Ce jeu nous montre la réalité, chaque fin est liée à un témoignage qui raconte l’histoire d’une personne qui l’a vécue. »
Élève de troisième
5 FINS pour 5 TÉMOIGNAGES :
Il est possible de sortir des violences conjugales. La victime s’est rapprochée des institutions publiques telles que les commissariats et les associations. Le 3919 lui a permis de sauver sa vie.
FIN A
Ce témoignage nous permet de nous rassurer sur le fait qu’il est possible de sortir des violences conjugales. La victime est entourée de ses proches et fait preuve de courage.
FIN B
La violence conjugale ne se termine parfois jamais. Dans ce cas, l’emprise que l’auteur de violences conjugales a sur sa victime est trop forte. La victime n’arrive pas à s’en défaire.
FIN C
Les issues fatales sont bien trop nombreuses. La blessure de trop arrive aussi soudainement qu’inexorablement. Cette situation a été vécue par 147 femmes en France, en 2022.
FIN D
Le suicide forcé est une issue fatale moins connue que les féminicides. La violence psychologique, les menaces et les humiliations du quotidien peuvent être aussi dangereuses que la blessure de trop.
FIN E
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FIN A
FIN B
FIN C
FIN D
FIN E
L’emprise correspond à la domination morale que l’auteur de violence conjugale a sur sa victime. Être « sous emprise » signifie être dépendant de sa relation et être soumis à son ou sa partenaire. L’emprise est insidieuse, elle passe souvent inaperçue pour la personne concernée ainsi que pour son entourage.
